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Un nouveau rapport sur les tendances générationnelles diffusé aujourd’hui par le groupe Mustel et Sotheby’s International Realty Canada révèle que malgré la hausse du coût de la vie et des prix des propriétés partout au pays, une forte majorité d’acheteurs de la génération Z au Canada dépend des économies personnelles pour acheter une première propriété et a recours à diverses stratégies pour surmonter les obstacles financiers à l’accès à la propriété.

Selon les résultats de l’étude menée par le groupe Mustel et Sotheby’s International Realty Canada, 37 % des adultes de la génération Z vivant en milieu urbain au Canada prévoient acheter leur première propriété d’ici cinq ans et 43 % d’ici cinq et 10 ans, près d’un tiers (29 %) pensant le faire d’ici cinq à huit ans. 30 % s’attendent à payer entre 350 000 $ et 499 999 $ pour leur première maison, tandis que 26 % prévoient débourser entre 500 000 $ et 749 999 $. Un rapport antérieur du groupe Mustel et de Sotheby’s International Realty Canada avait révélé qu’environ la moitié de cette cohorte achèterait leur première propriété dans une zone à plus forte densité résidentielle et qu’il s’agirait probablement d’un condominium pour 25 % d’entre eux, d’une maison jumelée ou en rangée pour 18 % d’entre eux et d’un duplex ou d’un triplex pour 7 % d’entre eux. 39 % ont indiqué que leur première résidence sera très probablement une maison unifamiliale.

Selon les conclusions qui viennent d’être dévoilées, la mise de fonds proviendra avant tout des économies personnelles, 67 % des adultes de la génération Z vivant en milieu urbain au Canada ayant déclaré qu’il s’agit d’une source principale. Viennent ensuite un don financier de la famille (25 %), un prêt d’une institution financière autre d’une hypothèque (24 %), la vente d’actifs financiers comme des actions et des obligations (18 %), et un héritage familial (16 %).

Le rapport du groupe Mustel et de Sotheby’s International Realty Canada intitulé « Financing the Future of Canadian Housing: Generation Z Trends Report » met l’accent sur les stratégies financières et les sentiments de la prochaine génération de premiers acheteurs au Canada en ce qui concerne la propriété résidentielle. Il s’agit du deuxième d’une série de rapports basée sur la première étude approfondie menée au Canada sur les intentions, les aspirations et les préférences de la génération Z, et il s’inspire d’une étude ayant consisté à interroger 1 502 Canadiens de la génération Z ayant dépassé l’âge de la majorité et âgés entre 18 et 28 ans dans les régions métropolitaines de recensement de Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal.

« La génération Z gagne en influence tous les ans et elle est appelée à avoir un impact considérable sur le marché immobilier au Canada, affirme Josh O’Neill, directeur général du groupe Mustel. Les résultats de cette étude révèlent le haut degré de confiance que les jeunes Canadiens ont dans le logement résidentiel et montrent comment ils surmontent les obstacles financiers pour accéder à la propriété. »

Parmi les mesures personnelles et financières que ce groupe prévoit prendre afin d’économiser pour une première propriété, la plus répandue et globalement mentionnée par 51 % des répondants consiste à trouver un emploi à temps plein plus payant. Cela est suivi par une réduction ou une élimination des dépenses personnelles (42 %), un revenu supplémentaire grâce à un deuxième emploi (41 %) et une réduction ou une élimination des sorties au restaurant (37 %). Les autres mesures consistent notamment à vivre avec la famille (30 %), à réduire ou à éliminer les vacances (29 %), à retarder le moment d’avoir un enfant (28 %), et à réduire ou éliminer les loisirs ou encore les dépenses de santé ou de conditionnement physique (25 %).

Un segment appréciable de la génération Z au Canada anticipe aussi une structure de rechange pour acquérir une première propriété. Même si une propriété franche et complète est la structure la plus probable pour un premier achat résidentiel, comme l’ont déclaré 41 % des répondants, 24 % des adultes de la génération Z vivant en milieu urbain au Canada s’attendent à acquérir une première propriété avec leur famille, tandis que 13 % prévoient le faire avec des amis ou d’autres parties qui ne sont pas de la famille. Ceux qui vivent à Toronto et à Vancouver ont davantage tendance à dire qu’ils achèteront probablement leur première propriété avec de la famille ou des amis.

Dans chaque région métropolitaine, les résultats de l’étude révèlent aussi un haut degré de confiance dans le marché immobilier. Globalement, 83 % des adultes de la génération Z vivant en milieu urbain au Canada reconnaissent que l’accès à la propriété va jouer un rôle important pour assurer une retraite financière stable, 40 % partageant « fortement » ce sentiment. 71 % pensent que l’achat d’une propriété va leur rapporter autant (32 %) ou plus (39 %) que des placements financiers comme leurs REER et CELI.

« Même si les acheteurs de propriétés de génération Z au Canada sont très préoccupés par le prix abordable du logement, il est évident qu’ils souhaitent posséder une propriété et qu’ils considèrent cela comme faisant partie intégrante de leur sécurité et de leur planification financières, affirme Don Kottick, président et chef de la direction de Sotheby’s International Realty Canada. « Beaucoup parmi cette génération pleine de ressources sont en train de planifier leur premier achat immobilier, et prennent des mesures importantes et font des sacrifices considérables pour économiser en vue de leur première mise de fonds. Comme un adulte de la génération Z sur trois prévoit acheter sa première propriété au cours des cinq prochaines années, nous nous attendons à ce que ce groupe gagne en influence sociale, économique et politique sur le marché résidentiel canadien. »

Étant donné l’inflation découlant des politiques et le déficit sans précédent du pays en termes d’approvisionnement résidentiel, M. Kottick affirme que les marchés qui offrent des propriétés à des prix abordables, un coût de vie intéressant et une diversité de débouchés professionnels comme Calgary et Montréal seront nettement avantagés pour attirer et retenir les jeunes Canadiens à mesure que les prix nationaux des propriétés continueront de grimper.

 

 
Faits saillants sur les marchés

Vancouver

Dans une région notoirement connue pour les coûts élevés du logement, les résultats de l’étude menée par le groupe Mustel et Sotheby’s International Realty Canada qui viennent d’être dévoilés révèlent que les adultes de la génération Z à Vancouver ont confiance dans l’avenir du rendement du marché résidentiel de la région et considèrent que la possession d’une propriété fait partie intégrante de leurs plans financiers et de leur future retraite, même s’ils réfléchissent à diverses stratégies pour économiser en prévision de leur mise de fonds.

Même si le prix de référence composite de l’indice des prix des propriétés (IPP) MLS dans le Grand Vancouver pour des propriétés résidentielles a augmenté régulièrement de 18,5 % d’une année sur l’autre pour atteindre 1 255 200 $ en janvier 2022, 36 % des adultes de la génération Z prévoient faire leur première acquisition d’ici cinq ans. 43 % s’attendent à acheter une maison d’ici cinq à 10 ans, dont 33 % d’ici cinq à huit ans. Sans surprise, les répondants de la génération Z à Vancouver, tout comme leurs pairs de Toronto, sont plus susceptibles que ceux qui vivent à Calgary et à Montréal de s’attendre à payer plus de 750 000 $ pour leur première propriété. Si 19 % prévoient payer moins de 350 000 $ pour leur première propriété, 20 % s’attendent à débourser entre 350 000 $ et 499 999 $ et 31 % entre 500 000 $ et 749 999 $. Une proportion notoire de 16 % pense qu’une première propriété leur coûtera entre 750 000 $ et 999 999 $ et 14 % s’attendent à payer plus de 1 M$.

Comme c’est le cas des autres régions métropolitaines, la génération Z de Vancouver comptait surtout sur ses propres moyens pour mettre de l’argent de côte en vue d’acheter une propriété, 62 % des répondants ayant déclaré que leurs économies personnelles seront une source de financement principale pour leur mise de fonds. Les autres principales sources de mise de fonds incluent notamment un don financier de la famille (25 %), un prêt d’une institution financière autre qu’une hypothèque (24 %), la vente d’actifs financiers comme des actions et des obligations (18 %), et un héritage familial (16 %).

Les principales mesures personnelles et financières prises pour accéder à la propriété reflètent l’autonomie de cette génération pour planifier l’achat d’une propriété : 49 % comptent se trouver un emploi à temps plein plus payant, tandis que 45 % vont compléter leur revenu avec un deuxième emploi. 39 % sont disposés à éliminer ou à réduire leurs dépenses personnelles, tandis que 36 % vont aller vivre dans leur famille ou réduire ou éliminer les sorties au restaurant, respectivement. Parmi les autres mesures clés il y a entre autres la cohabitation avec des amis et des colocataires pour économiser (26 %), la réduction ou l’élimination des loisirs ou encore des dépenses de santé ou de conditionnement physique (26 %), et la réduction ou l’élimination des vacances (25 %).

La génération Z de Vancouver, comme celle de Toronto, est plus susceptible que celle de Montréal de penser que la structure de sa première résidence sera une copropriété avec la famille, selon 27 % des répondants de Vancouver. Une autre proportion de 13 % prévoit être copropriétaire avec des amis ou d’autres qui ne font pas partie de la famille. Toutefois, la propriété franche et complète demeure le scénario le plus probable pour l’achat d’une première propriété parmi la génération Z de Vancouver, selon 39 % des répondants.

Globalement, et malgré les défis bien documentés que pose le prix abordable des propriétés, la confiance dans le marché immobilier est élevée parmi la prochaine génération d’acheteurs de Vancouver. 86 % des adultes de la génération Z maintiennent que l’accès à la propriété va jouer un rôle important pour assurer une retraite financière stable, 44 % partageant « fortement » ce sentiment. Une proportion importante de 75 % pense que l’achat d’une propriété va leur procurer le même rendement (28 %) ou un rendement supérieur (47 %) que des investissements financiers comme des REER et des CELI.

 

Calgary

Selon des conclusions précédemment publiées par le groupe Mustel et Sotheby’s International Realty Canada, les adultes de la génération Z à Calgary sont parmi les plus optimistes sur les principaux marchés métropolitains du Canada en ce qui concerne leurs perspectives d’acquérir une résidence principale. Encouragés par la confiance dans une économie qui se renforce et soutenus par les prix des propriétés et le coût de la vie relativement abordables, 78 % disent qu’ils sont susceptibles de posséder une propriété pendant leur vie, 53 % indiquant qu’il est « très probable » qu’ils le fassent. Les conclusions de l’étude qui vient d’être dévoilée montrent à présent que 44 % des adultes de la génération Z dans la région s’attendent à acheter leur première propriété d’ici cinq ans, 36 % prévoyant le faire d’ici cinq à 10 ans, dont 26 % d’ici cinq à huit ans.

Même si le prix de référence composite de l’IPP MLS de Calgary a gagné 11,4 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 458 800 $ en janvier 2022, la région continue d’afficher certains des prix immobiliers en milieu urbain parmi les plus accessibles au Canada. Ce n’est donc pas étonnant que les adultes de la génération Z de Calgary, comme ceux de Montréal, soient plus susceptibles que ceux de Toronto et de Vancouver de s’attendre à payer entre 350 000 $ et 499 999 $ pour leur première propriété, 44 % des habitants de Calgary s’attendant à ce que leur première propriété se situe dans cette plage. 28 % prévoient payer moins de 350 000 $ pour leur première propriété, tandis que 19 % comptent dépenser entre 500 000 $ et 749 999 $. 5 % s’attendent à payer entre 750 000 $ et 999 999 $, et une proportion symbolique de 4 % prévoit payer plus de 1 M$ pour une première propriété.

Comme c’est le cas des autres régions métropolitaines, les adultes de la génération Z à Calgary comptent surtout sur eux-mêmes pour faire des économies en vue de l’achat d’une première propriété. 64 indiquent que la mise de fonds proviendra avant tout de leurs économies personnelles. Cela est suivi d’un prêt, autre qu’une hypothèque, contracté auprès d’une institution (23 %) et de la vente d’actifs financiers tels que des actions et des obligations (19 %). 17 % de ceux qui vivent à Calgary s’attendent à un don financier de leur famille pour les aider à effectuer leur mise de fonds initiale, tandis que 16 % prévoient utiliser un héritage familial. 16 % disent également qu’ils vont se servir de leurs cartes de crédit pour la mise de fonds initiale.

Selon 54 % des adultes de la génération Z de Calgary, la principale stratégie personnelle et financière pour économiser en vue d’une mise de fonds consiste à trouver un emploi à temps plein plus payant. Vient ensuite la réduction ou l’élimination des sorties au restaurant (47 %), un deuxième emploi pour avoir un revenu supplémentaire (46 %) et la réduction ou l’élimination des dépenses personnelles (43 %). Parmi les autres mesures essentielles, mentionnons le fait de vivre avec la famille pour économiser de l’argent (31 %) et d’attendre à plus tard d’avoir un enfant (31 %). En outre, même si une propriété franche et complète est le scénario le plus probable pour l’achat d’une première propriété chez 43 % des adultes de la génération Z de Calgary, 22 % prévoient acheter une première propriété avec leur famille et 14 % comptent le faire avec des amis ou d’autres qui ne sont pas de la famille.

Globalement, la génération Z de Calgary est également confiante dans la performance future du marché résidentiel de la région et considère la possession d’une propriété comme faisant partie intégrante de ses plans financiers et de retraite. 86 % des personnes interrogées disent que le fait de posséder une propriété sera important pour assurer une retraite financière stable, 41 % étant « fortement » d’accord avec ce sentiment. 68 % pensent que l’achat d’une propriété va leur procurer le même rendement (26 %) ou un rendement supérieur (41 %) que leurs placements financiers.

 

Toronto

Selon les conclusions d’une étude qui vient d’être publiée par le groupe Mustel et Sotheby’s International Realty Canada, les adultes de la génération Z de Toronto ne sont pas seulement prêts à faire l’acquisition d’une propriété; ils déploient aussi diverses stratégies pour surmonter les prix à la hausse des propriétés et les préoccupations reliées à leur accessibilité afin d’économiser en vue d’une mise de fonds pour une première propriété.

Même si le prix de référence composite de l’IPP MLS dans la région du Grand Toronto pour les propriétés résidentielles a augmenté de 33,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre un montant record de 1 259 900 $ en janvier 2022, 36 % des adultes de la génération Z s’attendent à acheter leur première propriété d’ici cinq ans, 44 % prévoyant le faire d’ici cinq à 10 ans, dont 28 % d’ici cinq à huit ans.

13 % s’attendent à payer moins de 350 000 $ pour leur première propriété, tandis que 20 % comptent payer entre 350 000 $ et 499 999 $ et 31 % entre 500 000 $ et 749 999 $. Curieusement, les répondants de la génération Z à Toronto, comme leurs pairs de Vancouver, sont plus susceptibles que ceux de Calgary et de Montréal de s’attendre à payer plus de 750 000 $ pour une première propriété : 19 % prévoient que leur première propriété leur coûtera entre 750 000 $ et 999 999 $, tandis que 16 % comptent payer 1 M$ ou davantage.

À l’instar de celles des autres régions métropolitaines visées par l’étude, la génération Z de Toronto compte surtout sur elle-même pour économiser en vue de la mise de fonds initiale pour une première propriété. Une proportion écrasante de 70 % des répondants dit que la mise de fonds proviendra avant tout de leurs économies personnelles. Les autres sources de financement de la mise de fonds incluent un don financier de la famille (27 %) et un prêt d’une institution financière (26 %). La vente d’actifs financiers et la ponction dans les REER sont mentionnées par 20 % et 16 % des répondants, respectivement.

Selon 55 % de tous les répondants, la stratégie personnelle et financière que ce groupe compte adopter pour économiser en vue de l’achat d’une première propriété consiste à trouver un travail à temps plein plus payant. Cela est suivi par une réduction ou une élimination des dépenses personnelles (47 %), un revenu supplémentaire grâce à un deuxième emploi (42 %) et une réduction ou une élimination des sorties au restaurant (37 %). Les autres stratégies consistent notamment à vivre avec la famille (35 %), à réduire ou à éliminer les vacances (31 %), à retarder le moment d’avoir un enfant (29 %), et à réduire ou éliminer les loisirs ou encore les dépenses de santé ou de conditionnement physique (29 %).

Comme ceux de Vancouver, les adultes de la génération Z à Toronto sont plus susceptibles que ceux de Montréal d’indiquer qu’ils vont probablement acheter leur première propriété avec la famille, 26 % déclarant qu’il s’agit de leur arrangement le plus probable pour accéder à la propriété. Une autre proportion de 12 % prévoit être copropriétaire avec des amis ou d’autres personnes qui ne font pas partie de la famille. En dépit de ces modèles de rechange, la propriété franche et complète demeure la structure la plus anticipée pour l’achat d’une première propriété parmi la génération Z de Toronto, selon 39 % des répondants.

84 % des adultes de la génération Z à Toronto disent aussi que la possession d’une propriété joue un rôle important dans leurs plans pour une retraite financière stable, 44 % partageant « fortement » ce sentiment. La confiance dans la performance future du marché résidentiel est également grande, 73 % estimant que l’achat d’une propriété va leur procurer le même rendement (33 %) ou un rendement supérieur (40 %) que leurs placements financiers.

 

Montréal

79 % des adultes de la génération Z à Montréal sont convaincus qu’ils vont acheter une résidence principale pendant leur vie, selon un rapport préalablement diffusé par le groupe Mustel et Sotheby’s International Realty Canada, et les résultats de l’étude qui vient d’être publiée révèlent que 37 % s’attendent à acheter leur première propriété d’ici cinq ans, tandis que 46 % prévoient le faire d’ici cinq à 10 ans, dont 31 % d’ici cinq à huit ans.

Même si l’IPP MLS pour le marché résidentiel de Montréal a augmenté de 22,0 % d’une année sur l’autre pour atteindre 530 100 $ en janvier 2022, la propriété à Montréal demeure abordable par rapport à d’autres grandes zones métropolitaines du Canada, notamment Vancouver et Toronto. Par conséquent, les adultes de la génération Z dans la région, comme ceux de Calgary, sont plus susceptibles que ceux de Toronto et de Vancouver de s’attendre à payer entre 350 000 $ et 499 999 $ pour une première propriété, 41 % de ceux de Montréal s’attendant à ce que leur première propriété se situe dans cette plage. 25 % de plus s’attendent à dépenser moins de 350 000 $ pour leur première propriété. 22 % prévoient que leur première propriété coûtera entre 500 000 $ et 749 999 $, tandis que 8 % des répondants de Montréal s’attendent à la payer entre 750 000 $ et 999 999 $. 4 % comptent payer plus de 1 M$ pour une première propriété.

Les adultes de la génération Z à Montréal, comme ceux des autres grandes régions métropolitaines du Canada, ont aussi indiqué qu’ils comptent beaucoup sur eux-mêmes pour économiser en vue de la mise de fonds pour une première propriété. 64 % des répondants disent que la mise de fonds proviendra avant tout de leurs économies personnelles. Cela est suivi d’un prêt, autre qu’une hypothèque, contracté auprès d’une institution financière (24 %) et d’un don financier de la famille (21 %). 16 % disent qu’ils utiliseront des cartes de crédit pour leur mise de fonds initiale et 14 % prévoient se servir d’un héritage familial.

Selon 54 % des répondants, la principale stratégie personnelle et financière pour économiser en vue d’une mise de fonds consiste à trouver un emploi à temps plein plus payant. Viennent ensuite la réduction ou l’élimination des dépenses personnelles (36 %), un deuxième emploi pour avoir un revenu supplémentaire (36 %) et la réduction ou l’élimination des sorties au restaurant (33 %). Pari les autres stratégies essentielles mentionnons la réduction ou l’élimination des voyages et des vacances (30 %) et le fait d’attendre à plus tard pour avoir un enfant (28 %).

Même si une propriété franche et complète est le scénario le plus probable pour l’achat d’une première propriété à Montréal, selon 45 % d’adultes de la génération Z, 19 % s’attendent à acheter une première propriété avec leur famille, tandis que 14 % comptent le faire avec des amis ou d’autres qui ne sont pas de la famille.

Les adultes de la génération Z à Montréal considèrent la possession d’une propriété comme faisant partie intégrante de leurs plans financiers et de leur retraite future : 77 % des personnes interrogées disent que la possession d’une propriété va jouer un rôle majeur dans une retraite financièrement stable, 36 % partageant « fortement » ce sentiment; toutefois, ils sont moins susceptibles de vouloir investir dans l’immobilier que ceux des autres zones métropolitaines. 36 % pensent que l’achat d’une propriété leur procurera le même rendement que leurs placements financiers, mais moins d’un tiers (31 %) pense que leur propriété rapportera plus que les placements financiers, comparativement à une proportion de 40 à 47 % dans les autres régions couvertes par l’étude.

Ce rapport se fonde sur les résultats d’une enquête ayant recours à une méthodologie en ligne auprès d’un panel robuste de 1 502 adultes de la génération Z âgés de 18 à 28 ans dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) de Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal. Ce panel est établi pour être représentatif de la population canadienne et fournit des données de qualité élevée. Les participants sont sélectionnés par une méthode d’adhésion double à partir de vastes bases de données issues de canaux fiables respectant des normes de l’industrie en matière d’assurance de la qualité, de validation, de vérification et de pratiques exemplaires de gestion de panels. L’échantillon a été pondéré pour correspondre aux données du recensement de Statistique Canada basées sur l’âge, le revenu du ménage et de la propriété foncière au sein de chaque RMR et pour ramener l’échantillon total dans une proportion adéquate par rapport aux populations relatives. Alors que les marges d’erreur s’appliquent uniquement aux échantillons probabilistes aléatoires, la marge d’erreur d’un échantillon probabiliste aléatoire de 1 502 répondants est ±2,5 points de pourcentage, 19 fois sur 20 et va de ± 4,5 à 5,4 points pour 325 à 476 répondants. Les données pour cette série de rapports ont été recueillies entre le 25 octobre et le 10 novembre 2021. Veuillez noter que la somme des pourcentages cités peut ne pas correspondre à 100 % en raison de l’arrondissement.

1https://www.crea.ca/housing-market-stats/national-price-map/
2https://www.crea.ca/housing-market-stats/national-price-map/
3https://www.crea.ca/housing-market-stats/national-price-map/
4https://www.crea.ca/housing-market-stats/national-price-map/


*Avertissement

Les renseignements présentés dans ce rapport renvoient à des données d’enquête ainsi qu’à des données sur le marché provenant des chambres immobilières MLS de l’ensemble du Canada. Sotheby’s International Realty Canada avise les lecteurs que les données sur le marché MLS peuvent être utiles pour établir des tendances au fil du temps, mais n’indiquent pas les prix réels dans des quartiers extrêmement différents ni ne tiennent compte des différentiels de prix à l’intérieur des marchés locaux. Ce rapport est diffusé uniquement à des fins d’information générale et ne doit pas servir de fondement à toute transaction. Bien que des normes élevées aient été suivies lors de la préparation des renseignements et de l’analyse présentés dans ce rapport, Sotheby’s International Realty Canada, les filiales de Sotheby’s International Realty et le groupe Mustel n’assument aucune responsabilité pour toute perte ou tout dommage résultant de l’utilisation du contenu de ce document ou de toute référence à ce contenu.

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