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Tandis que les employés et les employeurs négocient de nouvelles possibilités pour le travail à distance et hybride au fur et à mesure que la pandémie de COVID‑19 progresse, un rapport sur les tendances générationnelles de Mustel Group et Sotheby’s International Realty Canada récemment publié met en évidence de nouvelles perspectives révélant que la future demande pour des maisons chez les acheteurs de la génération Z reposera sur une attente relative au retour au lieu de travail et au bureau, ainsi que sur une préférence équilibrée entre la vie en milieu urbain et en milieu suburbain.

Les conclusions du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada récemment publiées révèlent que près de la moitié des adultes urbains de la génération Z (47 %) des plus grandes régions métropolitaines du Canada classe le critère « acheter une maison à proximité du travail » comme étant une priorité majeure quant au choix de l’emplacement de la première maison qu’ils achèteront; en outre, 15 % indiquent que l’achat d’une maison située au centre-ville ou à proximité de celui-ci est une priorité. La proximité par rapport au travail est surpassée uniquement par l’aspect sécuritaire du quartier en tant que caractéristique d’emplacement clé, l’aspect sécuritaire étant cité par 56 % des répondants du sondage. Parmi les autres priorités relatives aux choix de l’emplacement d’une première maison, mentionnons la proximité d’une épicerie (39 %), le caractère convivial du navettage (36 %), le fait de vivre près de sa famille (35 %) et le potentiel piétonnier (34 %). Selon les conclusions du sondage, les priorités les moins importantes quant au choix de l’emplacement du quartier lors de l’achat d’une première maison sont le caractère convivial du réseau de pistes cyclables, cité par 8 % des répondants en tant que facteur clé, et le fait de vivre à proximité des activités nocturnes, par exemple les clubs et les bars, rapporté par 5 % des répondants.

Les conclusions du sondage révèlent également une distribution pratiquement égale entre les adultes urbains de la génération Z qui envisagent d’acheter leur première maison dans une grande ville, une intention rapportée par 40 % des répondants, et ceux qui envisagent d’acheter leur première maison en banlieue, donc à l’extérieur d’une grande ville, une intention rapportée par 42 % des répondants. Environ un adulte sur dix s’attend à acheter sa première maison dans une petite ville (7 %) ou une région rurale (3 %). Mentionnons également que 8 % des répondants étaient incertains quant au type de collectivité où ils souhaitaient acheter leur première maison.

Les conclusions du sondage révèlent par ailleurs une préférence chez les acheteurs d’une première maison de la génération Z vivant en milieu urbain de demeurer dans la ville où ils résident ou à proximité de celle-ci. Parmi les répondants, 41 % envisagent d’acheter leur première maison dans la ville où ils résident, et 32 % ont l’intention d’acheter leur première maison à une distance d’une heure de route par rapport à la ville où ils résident. En outre, 11 % des répondants entendent acheter leur première maison au Canada, mais accepteraient d’aller s’établir plus loin; cela inclut 6 % des répondants qui envisagent d’acheter leur maison à plus d’une heure de route de la ville où ils résident, et 5 % des répondants qui envisagent d’acheter leur maison dans une province différente de celle où ils résident. Un minime 1 % des répondants envisagent d’acheter leur première maison à l’extérieur du Canada, tandis que 13 % sont encore incertains quant à l’endroit où ils veulent acheter leur première maison.

Location, Location, Location: Generation Z Trends Report (Emplacement, emplacement et… emplacement : Rapport des tendances chez les adultes de la génération Z) est le troisième d’une série de multiples rapports basés sur la première étude approfondie menée au Canada sur les intentions, les aspirations et les préférences de la génération Z. Il s’inspire d’une étude qui consistait à interroger 1 502 Canadiens de la génération Z ayant dépassé l’âge de la majorité et âgés de 18 à 28 ans dans les régions métropolitaines de Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal,et porte essentiellement sur les priorités et les critères de cette cohorte quant au quartier et à l’emplacement d’une première maison.

Les conclusions de la recherche menée par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada précédemment publiées dévoilent que 75 % des adultes urbains canadiens de la génération Z affirment qu’ils sont susceptibles de devenir acheteurs-propriétaires d’une première maison au cours de leur vie. Environ la moitié des adultes urbains canadiens de la génération Z sont plus susceptibles d’acheter une première maison de type à plus grande densité, 25 % ayant rapporté que leur premier achat sera probablement un appartement en copropriété; 18 %, une maison mitoyenne ou en bande et 7 %, un duplex ou triplex. 39 % ont indiqué que leur première maison sera fort probablement une maison unifamiliale. Selon les conclusions précédemment publiées toujours, 37 % des adultes urbains canadiens de la génération Z entendent acheter leur première maison dans moins de 5 ans, tandis que 43 % prévoient de l’acheter dans 5 à 10 ans. 30 % s’attendent à payer entre 350 000 $ et 499 999 $ pour leur première maison, tandis que 26 % s’attendent à débourser entre 500 000 $ et 749 999 $.

« Les conclusions du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada sur les adultes urbains canadiens de la génération Z précédemment publiées ont déjà révélé que les jeunes Canadiens ont un niveau élevé de confiance envers l’immobilier et ont l’intention d’acheter une maison, affirme Josh O’Neill, directeur général chez Mustel Group. Ce nouveau rapport dévoile des perspectives quant aux emplacements où ils souhaitent acheter leur première maison, et quant aux facteurs qui influencent cette importante décision de vie ».

Selon les experts de Sotheby’s International Realty Canada, de surprenantes divergences ont émergé dans les préférences liées aux quartiers et aux emplacements des différentes générations d’acheteurs de maison au fur et à mesure que les restrictions associées à la pandémie ont été assouplies, et à mesure que la participation aux activités sociales et communautaires a repris son cours au pays. Les préférences en pleine évolution quant au lieu de travail et au travail à domicile façonnent les tendances nouvelles et évolutives non seulement en ce qui a trait au lieu de travail, mais aussi en ce qui a trait à la demande pour des maisons, particulièrement chez la génération de jeunes Canadiens souhaitant acheter leur première maison.

« Durant la pandémie, la volonté, la nécessité et la capacité de travailler à distance ont influencé un certain nombre de Canadiens en leur permettant de se relocaliser dans des régions suburbaines ou récréatives en périphérie pour avoir plus d’espace et le style de vie qu’ils privilégiaient. Cette situation a contribué à stimuler une activité de vente record au chapitre de l’immobilier dans tout le pays. Tandis que la question de la flexibilité associée au travail à domicile demeure un enjeu définissant le lieu de travail dans un avenir prévisible, les attitudes des employés et des employeurs à l’égard du télétravail sont en train de changer de cap à mesure que les restrictions associées à la pandémie s’assouplissent, et il existe des différences de perspectives entre les générations qui auront une incidence sur la demande pour une maison, affirme Don Kottick, président directeur général de Sotheby’s International Realty Canada. Les jeunes Canadiens sont plus susceptibles de préférer un mode de travail hybride, c’est-à-dire travailler au bureau et à partir de la maison, en comparaison avec les Canadiens plus âgés, plus susceptibles de préférer le travail à distance. Notre recherche indique que pour les Canadiens de la génération Z, acheter une première maison dans un quartier situé près de leur lieu de travail demeure une priorité, peu importe s’ils ont l’intention d’acheter dans une grande ville ou en banlieue. Cette perspective a des implications importantes quant à la manière dont les villes et les banlieues devraient aborder la planification afin d’améliorer la qualité de vie et du logement pour les générations futures ».

M. Kottick cite la recherche menée par l’Angus Reid Institute qui révèle des différences générationnelles quant aux préférences des Canadiens vis-à-vis de leur lieu de travail, trois adultes de 18 à 34 ans sur dix (29 %) ayant signalé qu’ils préféraient travailler entièrement à partir de la maison, en comparaison avec deux adultes de 54 ans et plus sur cinq (42 %). Statistique Canada rapporte également qu’en avril 2022, 19 % des Canadiens travaillaient habituellement à partir de la maison exclusivement, une baisse de 24 % par rapport à janvier 2022; cependant, la part d’employés travaillant à la maison, que ce soit exclusivement ou par l’entremise d’un arrangement hybride, variait considérablement d’une région métropolitaine du Canada à l’autre.

« À mesure que le coût du logement et que le coût de la vie deviendront de plus en plus préoccupants pour les jeunes gens des grandes villes, l’industrie immobilière et le secteur privé seront appelés à tenir compte de la demande de la génération Z de pouvoir travailler près de leur lieu de travail, et dans des collectivités où ils peuvent se le permettre, affirme M. Kottick. Cette prise en compte pourra nécessiter de planifier un avenir où les emplois et les espaces de bureaux seront répartis au-delà des centres-villes et des centres d’affaires hyper concentrés dans les municipalités centrales, et de faire en sorte que les municipalités périphériques et les régions suburbaines jouent un rôle plus important au chapitre de l’offre de possibilités immobilières commerciales et résidentielles ».

 

Faits saillants sur les marchés

Vancouver

Dans une région métropolitaine qui a vu son taux d’emploi grimper à 64,4 % en avril 2022, tandis que son taux de chômage était stable à 5,4 %, les conclusions du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada récemment publiées révèlent qu’un pourcentage important des adultes de la génération Z de Vancouver planifient déjà de travailler à l’extérieur de leur maison lorsqu’ils songent à l’achat de leur première maison.

Comme c’est le cas dans d’autres régions métropolitaines, les adultes de la génération Z de Vancouver classent le critère « acheter une maison à proximité du lieu de travail » comme étant une priorité élevée pour ce qui est de l’emplacement de leur première maison, 43 % citant ce facteur comme une considération majeure par rapport au choix du quartier; cependant, seulement 11 % d’entre eux ont indiqué que l’achat d’une maison au centre-ville ou à proximité de celui-ci était une priorité. L’aspect sécuritaire du quartier est la seule caractéristique d’emplacement qui l’emportait sur la proximité par rapport au lieu de travail en tant que considération par rapport au choix du quartier; il a été rapporté par 54 % des répondants au sondage établis à Vancouver. D’autres priorités prépondérantes quant à l’emplacement comprennent le fait de vivre près de sa famille (40 %), le caractère convivial du navettage (39 %), la proximité d’une épicerie (38 %) et le potentiel piétonnier (31 %). Les priorités les moins importantes quant au choix du quartier lors de l’achat d’une première maison sont le caractère convivial du réseau de pistes cyclables, cité par 7 % des répondants en tant que considération clé, et le fait de vivre à proximité des activités nocturnes, par exemple les clubs et les bars, rapporté par 6 %.

Tandis que 36 % des adultes de la génération Z qui vivent dans la région métropolitaine de Vancouver envisagent d’acheter leur première maison dans une grande ville, 44 % affirment qu’ils achèteront plutôt la leur en banlieue, donc à l’extérieur d’une grande ville. 9 % ont l’intention d’acheter leur première maison dans une petite ville, tandis que 4 % envisagent plutôt d’acheter la leur dans une région rurale. Mentionnons également que 6 % des répondants étaient toujours incertains quant au type de collectivité où ils souhaitaient acheter leur première maison.

Les conclusions du sondage dévoilent également qu’à Vancouver, une proportion importante des acheteurs d’une première maison de la génération Z envisageaient de rester dans la ville où ils résident ou à proximité de celle-ci : 45 % envisagent d’acheter leur première maison dans la ville où ils résident, tandis que 28 % envisagent d’acheter la leur à une distance d’une heure de route par rapport à l’endroit où ils résident. 10 % ont l’intention d’acheter leur première maison à une distance de plus d’une heure de route par rapport à l’endroit où ils résident, tandis que 3 % ont l’intention d’acheter leur première maison dans une autre province canadienne. Parmi l’ensemble des répondants, aucun (0 %) n’envisage d’acheter sa première maison à l’extérieur du Canada, tandis que 13 % sont encore incertains quant à l’endroit où ils veulent acheter la leur.

Calgary

Stimulés par la revitalisation de l’économie locale qui a propulsé le taux d’emploi à 66,7 % en avril 2002 et fait descendre le taux de chômage à 7,2 %, les adultes de la génération Z de Calgary sont parmi les plus optimistes par rapport aux marchés des grandes régions métropolitaines du Canada en ce qui a trait à leurs chances d’être propriétaires d’une première maison. Encouragés par les prix du logement et les coûts de la vie qui demeurent abordables relativement à d’autres grandes villes canadiennes, 78 % des adultes de la génération Z de Calgary rapportent qu’ils sont susceptibles d’être propriétaires d’une maison à un moment ou l’autre de leur vie, 53 % indiquant qu’il y avait de « fortes chances » qu’ils le soient, selon les conclusions précédemment publiées des rapports de Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada.

Selon les conclusions récemment publiées du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada, les adultes de la génération Z de Calgary classaient le critère « acheter une maison à proximité du travail » comme étant une priorité majeure quant à l’emplacement de la première maison qu’ils achèteront, signalant ainsi qu’ils s’attendent à travailler à l’extérieur de la maison dans une certaine mesure. 47 % des répondants rapportaient que la proximité par rapport au lieu de travail était une considération majeure dans le choix du quartier, cependant, seulement 16 % indiquaient qu’acheter au centre-ville ou à proximité de celui-ci était une priorité. Ils avaient d’autres priorités prépondérantes quant au choix de l’emplacement d’une maison, notamment l’aspect sécuritaire du quartier (62 %), la proximité d’une épicerie (49 %), le potentiel piétonnier (34 %) et la proximité par rapport aux parcs et aux espaces naturels (34 %). Les priorités les moins importantes des adultes de la génération Z de Calgary quant au choix du quartier lors de l’achat d’une première maison sont la proximité des écoles, citée par 8 % des répondants en tant que facteur clé, le caractère convivial du réseau de pistes cyclables (9 %) et le fait de vivre à proximité des activités nocturnes, par exemple les clubs et les bars (9 %).

Les adultes de la génération Z de Calgary sont plus enclins que ceux de Toronto et de Vancouver à acheter leur première maison dans une grande ville (48 %), en comparaison avec 37 % chez leurs homologues de Toronto, et 36 % chez leurs homologues de Vancouver. Parmi les adultes de la génération Z de Calgary, 38 % affirment qu’ils achèteront leur première maison en banlieue, donc à l’extérieur d’une grande ville, 4 % ont l’intention d’acheter la leur dans une petite ville et 5 % entendent acheter la leur dans une région rurale. 4 % sont encore indécis.

Les conclusions du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada révèlent qu’un pourcentage important des adultes de la génération Z de Calgary ont l’intention d’acheter leur première maison dans la ville où ils résident (48 %), tandis que 25 % entendent l’acheter à une distance d’une heure de route d’où ils résident. 4 % ont l’intention d’acheter leur première maison à une distance de plus d’une heure de route par rapport à l’endroit où ils résident, tandis que 6 % ont l’intention d’acheter la leur dans une autre province canadienne. Parmi l’ensemble des répondants, 1 % envisage d’acheter leur première maison à l’extérieur du Canada, tandis que 12 % sont encore incertains quant à l’endroit où ils veulent acheter la leur.

Toronto

Selon les conclusions récemment publiées du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada, les adultes de la génération Z de Toronto sont non seulement prêts à devenir propriétaires, mais la majorité d’entre eux sont également convaincus que pour l’achat de leur première maison, ils prendront en considération leur intention de retourner à leur lieu de travail ou au bureau.

Tandis que le taux d’emploi de la plus grande région métropolitaine du pays a grimpé à 63,5 % en avril 2022 et que le taux de chômage est descendu à 6,3 %, les conclusions récemment publiées du sondage révèlent que les adultes de la génération Z de Toronto classent la proximité du lieu de travail comme étant une priorité majeure pour ce qui est du choix de l’emplacement de leur première maison, indiquant leur intention claire de retourner à leur lieu de travail ou au bureau dans une certaine mesure. 46 % rapportent que l’achat d’une maison à proximité du lieu de travail est une considération clé dans leur décision d’achat d’une première maison; cependant, seulement 16 % signalent qu’acheter leur maison au centre-ville ou à proximité de celui-ci est une priorité clé quant au choix de l’emplacement. Comme c’est le cas chez les adultes de la génération Z de Vancouver et de Montréal, l’aspect sécuritaire du quartier est la seule caractéristique quant au choix de l’emplacement à l’emporter sur la proximité du lieu de travail en tant que considération prioritaire pour le choix de l’emplacement de leur première maison, fait rapporté par 56 % des répondants. Entre autres priorités majeures, mentionnons la proximité d’une épicerie (39 %), le caractère convivial du navettage (35 %) et le potentiel piétonnier (35 %). Pour ce qui est des adultes de la génération Z de Toronto, les priorités les moins importantes concernant le quartier lors de l’achat d’une première maison sont le caractère convivial du réseau de pistes cyclables (9 %) et le fait de vivre à proximité des activités nocturnes, par exemple les clubs et les bars (3 %).

37 % d’entre eux envisagent d’acheter leur première maison dans une grande ville, tandis que 42 % envisagent d’acheter en banlieue, donc à l’extérieur d’une grande ville. 8% ont l’intention d’acheter leur première maison dans une petite ville, tandis que 3% envisagent plutôt d’acheter la leur dans une région rurale. 10 % des répondants étaient incertains quant au type de collectivité où ils souhaitaient acheter leur première maison.

Les conclusions du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada révèlent qu’un pourcentage important des adultes de la génération Z de Toronto ont l’intention d’acheter leur première maison dans la ville où ils résident (40 %), tandis que 36 % entendent l’acheter à une distance d’une heure de route d’où ils résident. 7% ont l’intention d’acheter leur première maison à une distance de plus d’une heure de route par rapport à l’endroit où ils résident, tandis que 3% ont l’intention d’acheter la leur dans une autre province canadienne. Parmi l’ensemble des répondants, 1 % envisage d’acheter leur première maison à l’extérieur du Canada, tandis que 13% sont encore incertains quant à l’endroit où ils veulent acheter la leur.

Montréal 

Selon les conclusions précédemment publiées d’un rapport de Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada, 79 % des adultes de la génération Z de Montréal affirment être convaincus qu’ils achèteront une première maison à un moment ou l’autre de leur vie, tandis que 37 % entendent acheter leur première maison d’ici les cinq prochaines années, et que 46 % s’attendent à le faire dans 5 à 10 ans. Les conclusions récemment publiées du sondage indiquent maintenant qu’ils sont enclins à le faire, en ayant en tête un retour dans le lieu de travail ou au bureau. Les conclusions sont publiées à un moment où le taux d’emploi à Montréal a grimpé à 63,3 % en avril 2022, tandis que le taux de chômage dans la région métropolitaine est descendu à 4,8 %.

Les adultes de la génération Z de Montréal rapportent que la proximité du lieu de travail est une priorité majeure quant au choix de l’emplacement de leur première maison, une conclusion venant signaler que cette cohorte s’attend à travailler à l’extérieur de la maison dans une certaine mesure. Tandis que 50 % des répondants rapportent que la proximité par rapport au lieu de travail était une considération majeure dans le choix du quartier, seulement 17 % indiquent qu’acheter au centre-ville ou à proximité de celui-ci était une priorité. Parmi les autres priorités majeures relativement au choix de l’emplacement, mentionnons l’aspect sécuritaire du quartier (57 %), la proximité d’une épicerie (38 %), le fait de vivre près de sa famille (36 %) et le caractère convivial du navettage (35 %). Pour cette génération d’acheteurs, les priorités les moins importantes par rapport au choix de l’emplacement d’une première maison étaient de l’acheter dans un quartier où le réseau de pistes cyclables était convivial (8 %) et le fait de vivre à proximité des activités nocturnes, par exemple les clubs et les bars (6 %).

43 % des adultes de la génération Z de Montréal ont rapporté qu’ils envisagent d’acheter leur première maison dans une grande ville, tandis que 41 % affirment qu’ils envisagent d’acheter en banlieue, donc à l’extérieur d’une grande ville. 7 % ont l’intention d’acheter leur première maison dans une petite ville, tandis que 2 % envisagent plutôt d’acheter la leur dans une région rurale. 8 % des répondants étaient incertains quant au type de collectivité où ils souhaitaient acheter leur première maison.

Selon les conclusions du sondage mené par Mustel Group/Sotheby’s International Realty Canada, 38 % des adultes de la génération Z de Montréal ayant l’intention d’acheter une première maison l’achèteront dans la ville où ils résident, tandis que 32 % entendent l’acheter à une distance d’une heure de route d’où ils résident. 5 % ont l’intention d’acheter leur première maison à une distance de plus d’une heure de route par rapport à l’endroit où ils résident, tandis que 8 % ont l’intention d’acheter la leur dans une autre province canadienne. Parmi l’ensemble des répondants, 3 % envisagent d’acheter leur première maison à l’extérieur du Canada, cependant, 14 % sont encore incertains quant à l’endroit où ils veulent acheter la leur.

Le présent rapport se fonde sur les conclusions d’une enquête ayant recours à une méthodologie en ligne auprès d’un panel robuste de 1 502 adultes de la génération Z âgés de 18 à 28 ans dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) de Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal. Ce panel est établi pour être représentatif de la population canadienne et fournit des données de qualité élevée. Les participants sont sélectionnés par une méthode d’adhésion double à partir de vastes bases de données issues de canaux fiables respectant des normes de l’industrie en matière d’assurance de la qualité, de validation, de vérification et de pratiques exemplaires de gestion de panels. L’échantillon a été pondéré pour correspondre aux données du recensement de Statistique Canada basées sur l’âge, le revenu du ménage et de la propriété foncière au sein de chaque RMR et pour ramener l’échantillon total dans une proportion adéquate par rapport aux populations relatives. Alors que les marges d’erreur s’appliquent uniquement aux échantillons probabilistes aléatoires, la marge d’erreur d’un échantillon probabiliste aléatoire de 1 502 répondants est ±2,5 points de pourcentage, 19 fois sur 20 et va de ± 4,5 à 5,4 points pour 325 à 476 répondants. Les données pour cette série de rapports ont été recueillies entre le 25 octobre et le 10 novembre 2021. Veuillez noter que la somme des pourcentages cités peut ne pas correspondre à 100 % en raison de l’arrondissement.

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